La Vie Dissolue D'Une Bigote 4 : Geneviève Prend Une Sage Décision Et Un Amant
Ma belle-mère sattachait vraiment beaucoup à moi. Cependant, vu de lextérieur rien ne transparaissait. Un incident va me permettre darriver à mon but, c'est-à-dire de lui trouver un amant. Non que je sois lassé delle, je prends beaucoup de plaisir à la baiser, dautant quelle est maintenant bien délurée. Malgré tout, la situation nest pas des plus nettes vis-à-vis de sa famille et particulièrement de sa fille. Ce nest pas delle que je crains le danger, mais plutôt de sa sur qui est une fine mouche et très branchée sexe. Il ne lui faudrait pas grand-chose pour découvrir le pot aux roses à la moindre erreur. Oh, elle ne dévoilerait peut-être pas le secret, mais me ferait surement du chantage du style, « Soit tu arrêtes de baiser avec ma mère, soit tu continues à la baiser et tu baises aussi avec moi sinon je dis tout et je fais casser le mariage !».
Un matin donc, comme souvent quand nous sommes seuls à la maison, je suis en train de baiser ma future belle-mère sur la table de la cuisine, cest un endroit et des positions quelle affectionne, même si ses reins souffrent un peu. Avec son lit conjugal, pour une raison plus « sentimentale » cest lendroit quelle préfère. Pris dans notre séance, nous navons pas entendu le facteur. Il vient chaque fois déposer le courrier sur la terrasse, à quelques mètres de nous. Lorsquil repart, en passant devant la fenêtre de la cuisine je le vois regarder fixement vers nous en passant très lentement. Cest à ce moment-là que je pense quil a dû entendre quelque chose. Je ne dis rien à Geneviève, mais les jours suivants, à plusieurs occasions il sonne afin que Geneviève vienne lui chercher des papiers quauparavant il aurait simplement déposés. Je remarque, quil lorgne les formes de ma belle-mère.
Cet incident me donne lopportunité que jattendais pour trouver un amant à Geneviève. Sous couvert de la déstabiliser je lui fais remarquer que le facteur a tendance à la regarder et à sintéresser un peu à elle.
Mes allusions se font plus pressantes au fil des jours, surtout après quil soit passé et a demandé à la voir. Petit à petit dans sa tête Geneviève ne le voit plus comme simple facteur. Tout cela ne nous empêche pas de nous retrouver quasiment chaque nuit et dans la journée quand nous sommes seuls. Ma belle-mère est devenue une maîtresse accomplie ne refusant jamais une suggestion, allant même jusquà me provoquer, voire à suggérer elle-même telle ou telle pratique.
Je décide de passer à létape suivante. Je rencontre « par hasard » le facteur autour dun verre. Après avoir parlé de tout et de rien comme Ça se fait chez nous, joriente la conversation vers ma belle-mère. Je sens bien quil veut dire des choses mais je veux lamener à me dire quelle lui plait bien. Je suggère quelle est bien roulée, quelle cache son jeu et finalement, après avoir bien regardé autour de lui, il lâche à mi-voix:
«De toute façon, tu temmerdes pas toi. (Ça y est me dis-je et je ne conteste pas)
Reste discret tout de même. Je ne voudrais pas quelle ait des ennuis. Tu sais, cest une sacré cochonne, elle ma sauté dessus et franchement Ça me gêne vis-à-vis de sa fille, il faudrait que je lui trouve un mec pour quelle me lâche.
Tu es sérieux ?
Ben
oui, non seulement cest ma belle-mère mais elle est plus vieille que moi.
Elle est plutôt pas mal foutu tu veux dire (le poisson est gaffé, on parle dhomme à homme)
Ah bon ? Elle te plait ?
Plutôt oui, mais
Quest-ce qui te gêne ?
Ben
Ça ne te dérangerait pas toi ?
Pas du tout, je tai dis que je voudrais lui trouver quelquun.
Oui, mais, elle nest pas commode et puis cest une cliente
Ne me dis pas que ce serait la première ?
N
Non mais
Tu sais, sous ses dehors hautains cest une fieffée salope ! Cà te dirais si je tarrangeais le coup ?
Tu ferais ça ?
Aucun problème ! Tu vas voir, mais toi, tu ne feras pas marche arrière, hein !
Ok ! Compte sur moi ! Mais comment vas-tu faire ?
Ne tinquiètes pas, je te dirai quand. Je vais te loffrir sur un plateau, tu nauras plus quà foncer ! Un conseil, tu attaques ses tétons et elle est à toi.
Tes un sacré numéro quand même !
Faut bien sentraider. Cela sera bien pour moi et cela sera très bien pour elle aussi. A bientôt ! »
Javais bien sûr ma petite idée sur la stratégie. Je profitais de quelques jours pour accen mes insinuations sur le facteur, surtout quand ma belle-mère était en train de jouir. Je glissais « Je suis sûr que tu aimerais que ce soit le facteur qui te baises en ce moment
Il doit être bien monté le facteur
Dis-moi que tu as envie de sa queue » Elle soffusquait de moins en moins. Je sentais quelle était à point. Je remarquais dailleurs quelle était plus agréable avec lui, lorsquil sonnait, maintenant quasiment tous les jours.
Le week-end coïncidant toujours avec la venue des s, le lundi étant un jour chargé pour le facteur, je lui dis en le voyant en ville « mardi sois à lheure »
Le facteur est assez ponctuel dans ses tournées. Je chauffe Geneviève avant quil narrive et je marrange pour quelle ne jouisse pas. Elle rouspète bien sûr et me supplie de la finir, mais je la maintiens en haut de la vague. Enfin, la voiture arrive. Va-t-il sonner ? Ou va-t-il renoncer ? Enfin la sonnette retenti.
Geneviève se dresse, enfile son peignoir, qui est toujours à portée de main au cas où et sort à la rencontre du facteur. Je la suis.
A la porte, le facteur hésite, il ne sait que faire. Geneviève a les joues rouges et est un peu échevelée.
- « Alors Pierre ? Depuis le temps que tu la lorgnes, tu la trouves comment cette poitrine ? » Geneviève tente bien, mollement de se dégager, mais je la tiens bien. Je trouve même quelle tendance à bomber le torse pour mettre en avant ses atouts. Face à nous, le facteur est stupéfait en découvrant les gros seins de sa cliente, offerts comme sur un plateau. Dans un premier temps il reste bêtement avec son courrier à la main. Il me regarde et je lui fais un clin dil et un signe de la tête pour lencourager. Alors, oubliant sa retenue, il jette, plus quil ne pose les lettres sur la table voisine et des deux mains, agrippe les seins de ma belle-mère.
Geneviève se laisse faire en soupirant. Oubliant sa situation obscène, elle pose sa tête sur mon épaule, déjà dominée par ses sens. Elle tourne son visage vers moi, cherchant mes lèvres. Elle a déjà oublié que face à un étranger, elle dévoile sa relation ueuse.
Voyant la tournure des événements, tout en lembrassant, je dénoue la ceinture du peignoir et lui retire son dernier vêtement. Elle est maintenant totalement nue face à son facteur qui ne sait plus où regarder. Elle sappuie sur moi y trouvant un soutien à sa folie. Son corps est brûlant. Lorsquenfin Pierre savance et lembrasse, je la lui abandonne me recule un peu pour regarder les deux amants maintenant serrés dans les bras lun de lautre et ne pensent plus à moi. Je me recule pour les laisser seuls.
Je ne suis pas très loin. Dans le salon, derrière la porte vitrée, je peux les observer. Geneviève est déchainée. Cest elle qui défait la ceinture de son nouvel amant. Elle baisse le pantalon et le slip de lhomme, saisi la bite et appuyant ses fesses à la table, comme il lui arrive souvent avec moi, elle guide la verge de Pierre dans sa chatte sûrement dégoulinante.
Le coït est rapide mais intense. Il ne faut que quelques minutes pour que le facteur jouisse. Les facultés de jouissance de Geneviève lui ont permit à elle aussi de prendre son pied. Heureusement, car si cette première expérience navait pas été une réussite, mon intrigue naurait pas connu de suite.
Son affaire finie, le facteur se rhabille vite, embrasse une dernière fois sa maîtresse et, comme pris en faute, file dans sa voiture et sen va rapidement.
Lorsquelle retourne à lintérieur, Geneviève me retrouve et cherche à reprendre son peignoir que javais emporté. Avant quelle ny parvienne, je lenlace, la pousse contre la table. Je suis toujours nu, aussi je lenfile sans problème. Je retrouve dans son vagin, la liqueur de son coït précédent, ce qui ne me dérange pas, dautant quà lépoque le sida était inconnu. Contrairement à Pierre, je la baise, plus lentement, la faisant jouir plusieurs fois à son habitude, avant de me vider en elle.
« Salaud ! Me dit-elle enfin. Vous mavez e à faire lamour à cet homme !
Jai limpression que tu as bien aimé, non ?
Je
Que va-t-il penser de moi maintenant ?
Cest ça qui te tracasse ? Nai pas peur ! Il ne va pas sen vanter, car il pourrait être sanctionné si ça se savait. Maintenant, tu as un amant mais qui nest pas ton gendre et celui-là tu pourras le garder, sans remords vis-à-vis de ta fille.
Cest vous qui avez manigancé tout ça !
Oui ! Je dois lavouer. Il faut que je te dise quil savait pour nous deux. Il nous a vus une fois. Depuis, tu as remarqué quil avait souvent un prétexte pour te voir et te reluquer. Il a lui aussi découvert que tu es baisable et coquine. Cest vrai que je lai un peu aidé. Alors cétait bon ?
Voyons ! On ne demande pas cela !
On ne baise pas non plus avec son beau-fils. Allez dis-moi !
Il
Cétait rapide, mais
Il est gros !
Plus gros que moi ?
O
Oui ! Mais
Plus court
Tu préfères quoi ?
Je ... je ne sais pas ! Vous me gênez ! Je
Jaime les deux !
Voilà ! Cest bien ! Moi jai adoré te baiser après lui. Tu étais chaude et visqueuse, pleine de son sperme !
Arrêtez voyons !
Mais non, ma salope ! Assume ! Toi aussi tu as aimé. Maintenant, il est temps de shabiller. »
Le lendemain matin, nous finissons de déjeuner, Geneviève est nerveuse. Lorsquarrive la voiture, elle rougit et nose bouger, va-t-il descendre ? Enfin, le coup de sonnette. Elle hésite encore, je lui lance « Vas-y ! » Elle se lève alors, mais avant quelle ne sorte je latt et enlève son peignoir.
« Mais
Si ce nest pas lui ?
Eh bien la personne aura une belle surprise ! Mais rassure-toi, jai vu que cétait Pierre. »
Sur la porte, ce dernier est surpris de trouver ma belle-mère entièrement nue, le recevant avec le sourire. Il lenlace et lembrasse immédiatement. A la main, pas de courrier. Il est donc venu pour elle. Geneviève lentraine à lintérieur et le couple entre dans la cuisine où je suis toujours. Pierre me salue, malgré tout un peu gêné.
« Je peux vous laisser seul dis-je
Non, restez. » Me demande ma belle-mère en me tendant la main
Elle se colle à son amant et reprend leur baiser passionné tout en serrant fort mes doigts comme pour me prendre à témoin, ou me remercier de mon offrande.
Le facteur semble moins pressé quhier. Cest lui qui se dégrafe. Il enlève sa chemise, se contorsionne pour baisser pantalon et slip tout en continuant son baiser. Bien sûr, il soccupe des tétons de Geneviève. Dabord avec les doigts puis avec la bouche lorsquenfin leur baiser cesse.
Geneviève, qui ne ma pas lâché, se tourne vers moi, me tire à elle et membrasse. Ma belle-mère a basculé dans le vice total. Elle a maintenant deux hommes qui soccupent delle, car voyant notre baiser, Pierre sest agenouillé et broute son minou, recevant surement la douce liqueur de notre maîtresse. Quand à moi, je moccupe des ses tétons que je martyrise, la faisant se pâmer une première fois.
Le facteur se relève alors et comme jen ai lhabitude, hisse les fesses de Geneviève sur le bord de la table et lenfile sans ménagement ! Je peux alors constater queffectivement, lhomme est pourvu dun chibre bien large presque deux fois plus que moi, mais bien plus court : une douzaine de centimètre environ. Il agrippe ma belle-mère aux hanches et la baise en cadence. Comme elle en a lhabitude avec moi, elle noue ses jambes autour de son mâle et saccroche à son cou.
Les deux amants ne sintéressent plus à moi, aussi, je les laisse seuls et descends dans ma chambre pour la toilette.
Je suis encore sous la douche lorsque Geneviève, toujours nue, me rejoint.
« Pourquoi mavez-vous abandonnée ?
Je trouvais que vous alliez bien ensemble et ne voulais pas vous déranger. Dailleurs vous ne faisiez plus attention à moi.
Jaurais aimé que vous restiez.
Il faudra bien que tu thabitues à baiser seule avec lui. Je te rappelle que je te lai choisi pour me remplacer.
Mais
on ne pourra continuer, tous les deux ?
Tu sais bien que ce ne sera plus possible bientôt. Alors il faut te préparer. Chaude comme tu les maintenant tu ne pourras pas tenir sans un homme qui te baise. Jai limpression dailleurs que tu y trouves ton compte
Oui
Je sais bien, Il est
gros mais moins vicieux que vous !
Nhésites pas à lui en demander plus, si tu veux, je vais lui dire
Vous
Vous allez lui dire ?
Dis-toi bien que cest moi qui lui ai dis de te baiser, Il naurait jamais osé. Avec lui tu es assurée de la discrétion, y compris pour nous, surtout si tu le contentes bien. Je vais lui dire que tu adore sucer de la bite et te faire enculer. Que tu coules comme une fontaine et que tu es une vraie salope. »
Geneviève va poursuivre sa relation avec Pierre y compris quand celui-ci prendra sa retraite. Mais pendant quelques temps elle continuera avec moi.
***
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